Citizen Poulpe - Critiques de films
  • Critiques de films
    • Toutes les critiques de films
    • Drame
    • Policier / Thriller
    • Horreur
    • Fantastique
    • Science-fiction
    • Comédies / Comédies dramatiques
    • Western
    • Espionnage
    • Guerre
    • Aventures / Action
    • Documentaire
    • Courts métrages
  • Extraits de films
  • Musique et cinéma
  • Dossiers
    • Dossiers thématiques
    • Portraits croisés
    • Personnalités
  • Recueil de nouvelles
  • Contact
PIFFF 2013 (Paris International Fantastic Film Festival)
Actualités 6

PIFFF 2013 : coup d’envoi cette semaine

Par Bertrand Mathieux · Le 19 novembre 2013

L’édition 2013 du Paris International Fantastic Film Festival (PIFFF) aura lieu du mardi 19 au dimanche 24 novembre au cinéma Gaumont Opéra Capucines. Retour sur la programmation d’un événement qui a le mérite, depuis son lancement en 2011, de promouvoir un cinéma fantastique trop rare dans les salles françaises.


Depuis sa première édition en 2011, le PIFFF, un festival créé par l’association Paris Ciné Fantastique (en partenariat avec Mad Movies), affiche la volonté plus que respectable de défendre un genre dont les salles hexagonales ne diffusent, le plus souvent du moins, que les productions les plus commerciales, certes pas forcément mauvaises sur le plan artistique (le raccourci serait un peu facile) mais qui ne sauraient représenter pleinement la richesse et la diversité de ce cinéma.  En atteste le fait que de nombreux films projetés au cours des précédentes éditions du festival n’ont pas bénéficié d’une sortie nationale, et ce malgré les qualités évidentes dont témoignaient certains d’entre eux, comme par exemple Extraterrestre de Nacho Vigalondo, John Dies at the End de Don Coscarelli, A Lonely Place to Die de Julian Gilbey ou encore The Inkeepers de Ti West ; sans parler du dernier film de Rob Zombie, The Lords of Salem, projeté en juin 2013 dans le cadre des Nuits du PIFFF, et qui en dépit de ses faiblesses vaut toujours mieux qu’un Conjuring, les dossiers Warren.

Certes, on peut toujours discuter certains choix et certains prix (le jury de l’édition 2012 avait récompensé The Body, d’Oriol Paulo, un ratage total à mon sens), sans pour autant renier un événement dont la vocation est précieuse et qui réserve chaque année sinon de très bons films, du moins d’agréables découvertes.

Le programme du PIFFF 2013

Films en compétition

Parmi les films en compétition figurent notamment les premiers longs-métrages respectifs des réalisateurs Marçal Forés (Animals), E.L. Katz (Cheap Thrills) et Jeremy Gardner, dont le film The Battery, relatant les aventures forcément singulières de deux joueurs de baseball confrontés à un monde envahi par des « infectés », bénéficie pour l’instant d’échos très positifs (lire l’article The Battery is damn good sur Bloody Disgusting). Du côté des cinéastes plus confirmés, on retrouve le talentueux Lucky McKee (May, The Woman, Sick Girl), avec un remake co-réalisé par son complice Chris Sivertson de leur propre film All Cheerleaders Die, une œuvre de jeunesse initialement sortie en 2001 ; Kiyoshi Kurosawa (Shokuzai) avec Real, qui relate la probablement vertigineuse expérience d’un homme pénétrant, à l’aide d’un nouveau programme, le subconscient de sa compagne plongée dans le coma ; et Stephen Sommers, le plus « grand public » (sans la moindre connotation péjorative) des réalisateurs honorés par le PIFFF, puisqu’il est l’auteur de quelques pop-corn movies à gros budget dont Un Cri dans l’océan, La Momie et Van Helsing. Odd Thomas, le film de Sommers projeté au PIFFF, est l’adaptation du roman éponyme de Dean Koontz, et son casting comprend l’excellent Willem Dafoe (Police fédérale, Los Angeles). En compétition également, le second long métrage d’Helene Cattet et de Bruno Forzani, L’Étrange couleur des larmes de ton corps, dont le titre pompeux laisse présager qu’il sera aussi vain, poseur et prétentieux que le premier (Amer) ; et Love Eternal, de l’irlandais Brendan Muldowney, déjà auteur de Savage (2009) – à noter la présence dans ce film de l’actrice Pollyanna McIntosh, qui s’est distinguée en 2011 par une performance saisissante dans le dérangeant The Woman, de Lucky McKee.

Films hors compétition

Du côté des films hors compétition, le PIFFF 2013 propose Byzantium, un film prometteur qui marque le retour de Neil Jordan (La Compagnie des loups) à l’univers des vampires après son célèbre Entretien avec un vampire ; un documentaire sur le mythique Festival d’Avoriaz (Du Sang sur la neige) ; le dernier long métrage d’Álex de la Iglesia (Action mutante, Le Jour de la bête), intitulé Les Sorcières de Zugarramurdi ; et la suite de Wolf Creek (2005), qui ne devrait pas être tellement plus brillante que le premier opus.

Les séances cultes

La section Séances cultes comporte un film de science-fiction plutôt méconnu mais intéressant, à savoir L’Opération diabolique de John Frankenheimer ; le culte Re-Animator de Stuart Gordon, une relecture fantaisiste et réjouissante d’une nouvelle de H.P. Lovecraft ; le plus confidentiel mais tout aussi culte The Wicker Man, de Robin Hardy (attention, il ne s’agit pas du remake avec Nicolas Cage, mais – heureusement – du film original sorti en 1973 avec notamment Christopher « Dracula » Lee) ; et enfin le manga Perfect Blue, sorti en 1997.

La nuit Stephen King

Le Paris International Fantastic Film Festival rend hommage cette année à Stephen King avec une nuit dédiée au célèbre écrivain américain, nuit qui il faut bien le dire ne brille pas par son originalité (des films comme Christine et Simetierre sont vus et revus, mais il est vrai qu’ils comptent parmi les adaptations réussies de King au cinéma) mais qui sera l’occasion de découvrir le remake du célèbre et très beau Carrie de Brian de Palma, remake signé Kimberly Peirce (Boys Don’t Cry).

Le festival s’ouvrira demain soir (mardi 19 novembre) avec Les Sorcières de Zugarramurdi, dans lequel Álex de la Iglesia semble avoir laissé libre cours à son goût de l’absurde et de la satire.

Bande annonce du PIFFF 2013

Lien utile

  • Le site officiel du Paris International Fantastic Film Festival
Festival de cinémaParis International Fantastic Film FestivalPIFFF
Partager Tweet

Bertrand Mathieux

Principal contributeur du blog Citizen Poulpe. Parmi mes cinéastes préférés : Michael Cimino ; Claude Chabrol ; Maurice Pialat ; Michael Powell ; Kelly Reichardt ; Arthur Penn ; Olivier Assayas ; Emmanuel Mouret ; Guillaume Brac ; Francis Ford Coppola ; Michel Deville ; Guillaume Nicloux ; Karim Moussaoui ; Woody Allen ; Sam Peckinpah ; Nacho Vigalondo ; Danielle Arbid ; Jean-Pierre Melville ; David Lynch ; Billy Wilder ; David Mamet ; William Friedkin ; Nicolas Pariser ; Sergio Leone ; Jane Campion ; Miguel Gomes ; Ari Aster ; Christian Vincent ; Sidney Lumet ; Dominik Moll ; Ernst Lubitsch ; Gilles Marchand ; Alfred Hitchcock ; John Carpenter ; Otto Preminger ; Whit Stillman ; Nicholas Ray...

Vous aimerez également

  • PIFFF 2012 : coup d’envoi le 16 novembre Actualités

    PIFFF 2012 : coup d’envoi le 16 novembre

  • PIFFF 2017 : du 5 au 10 décembre au Max Linder Actualités

    PIFFF 2017 : du 5 au 10 décembre au Max Linder

  • PIFFF 2019 : l’essentiel à savoir Actualités

    PIFFF 2019 : l’essentiel à savoir

6 commentaires

  • Jean-Pascal Mattei dit : 22 novembre 2013 à 16 h 46 min

    Pour résumer : un espoir presque déçu (McKee), du languissant (Kurosawa), du très bruyant (Sommers), des fétichistes (Cattet & Forzani), une ancienne gloire (Jordan), un comique pas drôle (de la Iglesia), un retour en arrière régressif (Gordon), nostalgique (le documentaire sur Avoriaz) ou sans descendance (Kon), sans oublier la célébration d’un auteur totémique (King) dont la critique « officielle » et les médias « généralistes » s’aperçoivent qu’il possède, finalement, un peu de talent (bel entretien au demeurant avec François Busnel dans « La Grande Librairie »)… Doit-on vraiment prendre tout cela au sérieux ? Ce type de festival évoque les chapelles tribales du New Age, ou du numérique contemporain, reliquats d’une religion moribonde prêts à s’étriper au moindre signe d’hérésie. Plutôt que de « défendre un genre », il vaudrait bien mieux l’illustrer avec talent, les œuvres parlant pour elles-mêmes, et lui permettre avec un circuit de distribution adéquat de rencontrer le public – et pas uniquement « son » public, constitué comme chacun sait de pervers, d’impuissants et de sales gosses (on frémit en pensant à ceux qui osent s’intéresser aussi à la pornographie, à mettre de facto dans le même sac). Trêve d’ironie : l’horreur – vous remarquerez qu’à l’âge du « hardcore » généralisé, le vocable dissout des termes plus nuancés comme « fantastique » ou « épouvante » – se porte si mal non pas tant en raison de la concurrence du « réel » (pourtant bien présente à tous les niveaux, du corps individuel vite malade aux guerres lointaines, en passant par la « Crise » parasitant chaque horizon, cinéphilique ou autre) qu’à cause de sa propre médiocrité, de son manque d’ambition, de radicalité, d’imaginaire, dénoncé ici même avec Wan et consorts (et que dire des sinistres petits malins commettant « A Serbian Film » ou « Modus Anomali » ?). Au lieu d’une messe et d’un requiem, de l’élan et de la joie (même mauvaise) ; à la place de commémorations et de vitrines tolérées, du chaos ordonné – on appelle cela de l’art – et de l’indépendance sans copinage, ni bénévolat, ni karaoké générationnel. Que crève ce cinéma d’horreur pour qu’enfin adviennent des films adultes qui nous bouleversent, nous terrifient, nous apprennent à vivre et à mourir ! Le cinéma d’horreur ? Un projet politique, éthique et esthétique, et une belle utopie…

    Répondre
    • Bertrand Mathieux dit : 22 novembre 2013 à 18 h 13 min

      Il y a (parfois) un peu de vrai dans ce que vous dites, mais c’est là un jugement très hâtif et beaucoup trop radical : « The Battery » de Jeremy Gardner est clairement l’un des films de zombie les plus réussis de ces dernières années, et sans référence au genre tout simplement un film bien écrit et interprété ; Jordan a peut-être déjà été en meilleure forme mais « Byzantium » reste de bonne facture et comporte des idées intéressantes (la relation mère fille, le propos féministe, etc.). J’imagine que la sélection comporte d’autres bons films que je n’ai pu aller voir.

      Enfin l’accusation de retour en arrière ne vaut pas pour une section séances cultes (Gordon), dont c’est le principe même… Un peu de mauvaise foi ici !

      Le festival essaie de proposer une sélection variée sans tomber dans les facilités du genre, le tout en peu de temps, une notoriété encore naissante et avec peu de salles à disposition. On peut donc bien entendu critiquer, mais il faut aussi savoir apprécier et saluer l’initiative, le PIFFF n’ayant aucun équivalent à Paris, et honnêtement j’y ai découvert plusieurs bons films que je n’aurais jamais vu autrement (pas de distributeurs en France). Rien que pour cela, ce festival mérite d’être suivi et encouragé ! Ce qui n’empêche pas, bien entendu, d’avoir aussi un regard critique – mais bon, je vous invite à aller y faire un tour avant d’émettre un jugement définitif…

      Répondre
  • Jean-Pascal Mattei dit : 22 novembre 2013 à 19 h 41 min

    Ce point de vue sur une sélection parmi d’autres – j’applaudirai peut-être à deux mains la suivante – ne me semble pas autant définitif qu’à vous-même, mais passons. L’excès de radicalité que vous me prêtez rejoint le vrai problème, celui de la nature du cinéma d’horreur (avec ses nuances évoquées supra) et de sa réception, de sa mise en valeur et de son analyse. Le retour en arrière ne possède rien de répréhensible tant qu’il ne s’assimile pas au ressassement, au recyclage, au karaoké généralisé, maux contemporains des « mad movies » (et de beaucoup d’autres). Il nous faut du nouveau, réclamait Baudelaire ; à moi aussi. Quant à se rendre sur place, vous n’ignorez pas que la province constitue en ce domaine un désert bien plus redoutable que toutes les forêts arpentées ad nauseam par les victimes interchangeables de l’horreur actuelle : hors de Paris, point de salut !

    Répondre
    • Bertrand Mathieux dit : 25 novembre 2013 à 10 h 50 min

      Le final cut de « The Wicker Man » (l’original de 73), projeté hier au PIFFF, n’était en tous cas pas du ressassement, car à ma connaissance cette version (issue d’une restauration très récente) n’avait pas encore été projetée en France. Je pense que vous auriez apprécié !

      Répondre
  • Jean-Pascal Mattei dit : 25 novembre 2013 à 22 h 04 min

    Subi naguère son insipide remake (la bande-annonce du nouveau « Carrie », auto-proclamé « féministe » et qui arrive après une suite guère enthousiasmante, malgré la belle présence d’Angela Bettis, inquiète déjà). Sur le papier, l’original possède tout pour (me) séduire : du mélodrame, de la comédie musicale, un soupçon d’érotisme et d’horreur. Mais le scénario du doué Anthony Schaffer (auteur de « Frenzy » et du « Limier », égaré depuis dans des adaptations pas déplaisantes mais scolaires d’Agatha Christie, où les stars britanniques et américaines défilaient funèbrement, comme leurs homologues hollywoodiennes dans les films catastrophe) ne semble déboucher, au vu des extraits disponibles, que sur une aimable bizarrerie psychédélique, fable rurale sur le puritanisme et le paganisme résonnant avec « The Dark », ainsi qu’avec une nouvelle très ironique de Matheson, « Les Enfants de Noé », le cannibalisme en lieu et place de l’immolation. Pour tout savoir sur ce film sans doute pas vraiment à la hauteur de sa réputation – en effet restauré par StudioCanal – je vous renvoie au documentaire très complet de Mark Kermode, critique bien connu et par ailleurs auteur d’un petit essai réussi sur « L’Exorciste », chez BFI Modern Classics. On y apprend, entres autres, qu’une animosité généralisée présida au tournage pluvieux et glacé, que Britt Ekland se vit remplacée par une « body double » uniquement de dos (« J’étais dévastée… Ce gros cul… »), et qu’un fan improvisé distributeur récupéra les quinze minutes manquantes grâce à Corman. Par ailleurs, on trouve des échos du film préféré de Christopher Lee jusque dans l’excellent « Poursuite mortelle », avec la séquence finale du carnaval éclairé par les arts du feu, présenté aussi à ce festival.

    Répondre
    • Bertrand Mathieux dit : 26 novembre 2013 à 0 h 26 min

      Votre révélation à propos de la doublure de Britt Ekland me déçoit profondément, mais hormis ce détail, je vous invite à aller au-delà de la bande-annonce du film ; il y a un propos intéressant sur la religion, des moments franchement drôles mais aussi des scènes assez saisissantes. « Bizarrerie psychédélique » n’est pas une supposition à côté de la plaque, après il faut aussi remettre dans le contexte de l’époque, et le film est bien plus que ça (après je ne trouve pas que l’expression soit péjorative). Et pour ce qui est de dire s’il est à la hauteur de sa réputation, je vous dirai que comme beaucoup de films « maudits », « The Wicker Man » a généré un culte qu’on peut trouver excessif, mais ça n’enlève rien aux qualités du film. De toutes façons c’est souvent comme ça : les films restés longtemps confidentiels ou qui ont affronté beaucoup de difficultés (censure, remontage, etc.) provoquent souvent des réactions extrêmes, parfois justifiées (« Les Diables », de Ken Russell, par exemple), parfois un peu moins ; tout en étant donc un poil plus mesuré que certains peuvent l’être à son égard, je vous recommande néanmoins « The Wicker Man », que j’ai pris beaucoup de plaisir à revoir dans une version plus complète et plus cohérente que celle que j’avais vue auparavant. Je retiens « Les enfants de Noé » de Matheson, quant au « Limier », je le cherche en vain depuis un moment…

      Répondre

    Laisser un commentaire Annuler la réponse.

    Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.

    Rechercher une critique de film

    Facebook

    Facebook

    Dernières actualités

    • Le TOP cinéma 2022 de Citizen Poulpe

      Le TOP cinéma 2022 de Citizen Poulpe

      2 janvier 2023
    • PIFFF 2022 : La Montagne, de Thomas Salvador

      PIFFF 2022 : La Montagne, de Thomas Salvador

      13 décembre 2022

    Critiques les plus récentes

    • Petite fleur

      Petite fleur

      21 mars 2023
    • Les Petits câlins

      Les Petits câlins

      25 février 2023

    Critiques les plus consultées

    Le Troisième homme
    Snow Therapy
    Wounds
    La Moustache
    L'Apparition
    Scarface
    My Cousin Rachel
    Les Miens

    Rechercher un film par thématique

    • Chronique intimiste
    • Critique sociale
    • Couples en plein doute
    • Détectives
    • Disparitions
    • Fantômes et apparitions
    • Féminisme
    • Jeux de l'amour et du hasard
    • Joies du libéralisme
    • Monstres et cie
    • Onirique
    • Politique
    • Questionnement identitaire
    • Réalisatrices
    • Récit initiatique
    • Relation vénéneuse
    • Sorcellerie
    • Transformation
    • Le travail c'est la santé

    Abonnez-vous !

    Abonnez-vous à Citizen Poulpe pour recevoir une notification par email à chaque nouvel article publié.

    • Critiques de films
      • Toutes les critiques de films
      • Drame
      • Policier / Thriller
      • Horreur
      • Fantastique
      • Science-fiction
      • Comédies / Comédies dramatiques
      • Western
      • Espionnage
      • Guerre
      • Aventures / Action
      • Documentaire
      • Courts métrages
    • Extraits de films
    • Musique et cinéma
    • Dossiers
      • Dossiers thématiques
      • Portraits croisés
      • Personnalités
    • Recueil de nouvelles
    • Contact

    Dossiers cinéma

    • Les « Dinner Parties From Hell » au cinéma

      Les « Dinner Parties From Hell » au cinéma

      19 avril 2020
    • Qui suis-je ? Exemples de troubles identitaires au cinéma

      Qui suis-je ? Exemples de troubles identitaires au cinéma

      22 novembre 2018
    • Les légendes urbaines dans le cinéma des années 90 et 2000

      Les légendes urbaines dans le cinéma des années 90 et 2000

      30 mai 2018

    Actualités

    • Le TOP cinéma 2022 de Citizen Poulpe

      Le TOP cinéma 2022 de Citizen Poulpe

      2 janvier 2023
    • PIFFF 2022 : La Montagne, de Thomas Salvador

      PIFFF 2022 : La Montagne, de Thomas Salvador

      13 décembre 2022
    • PIFFF 2022 : courts-métrages internationaux

      PIFFF 2022 : courts-métrages internationaux

      12 décembre 2022

    Musique et cinéma

    • Le Ballon rouge : réécriture de la musique originale

      Le Ballon rouge : réécriture de la musique originale

      3 avril 2021
    • « Safe Travels » par Peter and the Wolf dans « Villains »

      « Safe Travels » par Peter and the Wolf dans « Villains »

      25 avril 2020
    • « Soul on Fire » par LaVern Baker dans « Angel Heart »

      « Soul on Fire » par LaVern Baker dans « Angel Heart »

      26 mars 2020

    Recherche

    Consultez l’index des critiques de films.

    Sites conseillés

    Découvrez une sélection de sites conseillés par Citizen Poulpe.

    Citizen Kane, c’est un film qui a révolutionné le cinéma, aussi bien par ses innovations visuelles que narratives. Le poulpe, et en particulier le poulpe géant, est un animal marin mythique, qui se démarque par son charisme, sa capacité d’adaptation, et sa connaissance de lui-même. Citizenpoulpe.com est un hommage au cinéma et à la grandeur solennelle du poulpe.

    Blog sous license Creative Commons. Propulsé par WordPress.