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Albert Finney et Diane Keaton dans "L'usure du temps"
Drame 12

L’Usure du temps (Shoot the Moon)

Par Bertrand Mathieux · Le 3 décembre 2010

Film d’Alan Parker
Année de sortie : 1982
Titre original : Shoot the Moon
Pays d’origine : États-Unis
Scénario : Bo Goldman
Photographie : Michael Seresin
Montage : Gerry Hambling
Avec : Albert Finney, Diane Keaton, Karen Allen, Peter Weller.

George: You’re kind to strangers.
Faith: Yeah. Strangers are easy.

Shoot the Moon, intitulé L’Usure du temps en français, est un film d’une grande justesse sur un thème maintes fois traité au cinéma : la rupture. L’intelligence du scénario, la qualité de la mise en scène, de la photographie et de l’interprétation – Albert Finney et Diane Keaton y sont remarquables – en font l’un des meilleurs films d’Alan Parker.

Synopsis de L’Usure du temps

George et Faith Dunlap (Albert Finney et Diane Keaton) sont mariés et ont quatre enfants. Lorsque George part vivre chez Sandy (Karen Allen), le couple entame une procédure de divorce.

Faith souffre beaucoup de cette séparation, mais les choses ne sont pas si simples pour George – notamment lorsque Faith recommence à aller de l’avant…

Critique du film

Blame your kiss, as sweet as a kiss can be
And blame all your charms, that melt in my arms
But don’t blame me

Extrait de la chanson Don’t Blame Me (Dorothy Fields, Jimmy McHugh), dont la mélodie est utilisée dans L’Usure du temps

Alan Parker est de ces metteurs en scène dont la filmographie est particulièrement variée. Il s’est en effet attaqué à des genres très différents : les films musicaux (Bugsy Malone ; Fame ; The Wall) ; le polar fantastique (Angel Heart) ; le biopic (Evita). Au niveau des thématiques, il a traité de la ségrégation raciale dans les années 60 aux États-Unis (Mississipi Burning) ; de la guerre du Vietnam (Birdy) ; des conditions de vie dans les prisons turques (Midnight Express) ; de la peine de mort (La Vie de David Gayle) ; de la soul music (The Commitments), etc. Dans L’Usure du temps (Shoot the Moon), Parker filme un couple en train de divorcer.

L’Usure du temps compte parmi les plus grandes réussites de son auteur, tout en étant l’un de ses longs métrages les plus méconnus, en dépit d’un succès critique indéniable. La célèbre critique Pauline Kael avait d’ailleurs déclaré au sujet du film : Shoot the Moon is perhaps the most revealing American movie of the era. Les chroniques américaines de Pauline Kael, qui ont récemment été traduites en français, comprennent une critique élogieuse de L’Usure du temps.

Avec beaucoup de lucidité, le scénario – signé Bo Goldman, qui a notamment co-écrit Vol au-dessus d’un nid de coucou – explore la situation vécue par la famille Dunlap dans toute sa complexité, rendant compte des conséquences de la rupture (sur le couple et les enfants) ainsi que des sentiments confus, paradoxaux et parfois violents qu’elle suscite chez les protagonistes.

La principale force de L’Usure du temps est de placer le spectateur au plus près de ce que ressentent les personnages – qu’il s’agisse de la solitude, de l’amour, de la nostalgie, de la colère ou de la jalousie. Ces différents sentiments rythment le film, inspirant tour à tour la compassion, la tristesse, l’amertume ou le malaise, au fil d’un récit comportant deux scènes particulièrement difficiles. Scènes qui surgissent à la fois brusquement et, en même temps, de manière cohérente puisque le spectateur perçoit les mécanismes dramatiques qui les ont provoquées (grâce à la construction rigoureuse du récit).

Albert Finney et Diane Keaton dans "L'usure du temps"
Faith (Diane Keaton) et George (Albert Finney). « Strangers are easy… »

La première partie du film s’attarde d’abord sur la tristesse et la colère de la femme quittée (Diane Keaton), puis sur la rage tantôt contenue, tantôt libérée d’un homme qui n’accepte pas que son ex-compagne se reconstruise en entamant une liaison avec un autre. L’Usure du temps rend très bien compte de cette notion primaire de « territoire », dont la violation, ou du moins l’occupation (du point de vue de George) est symbolisée par le terrain de tennis que construit son « successeur » (Peter Weller) au sein de la propriété familiale.

Albert Finney (Tom Jones ; Le Crime de l’Orient Express  ; Au-dessous du volcan ; Les Duellistes ; Samedi soir, dimanche matin) est habité par les émotions, souvent orageuses, de son personnage, un homme à la fois attachant, possessif et parfois d’une grande violence. Il est poignant dans cette scène où il veille son beau père mourant ; effrayant voire révoltant dans ses accès de violence ; et totalement désarmé et pathétique au terme de ceux-ci. Diane Keaton (Le Parrain ; À la recherche de Mister Goodbar ; Annie Hall, autre très beau film sur le couple signé Woody Allen) livre ici l’une de ses compositions les plus marquantes. Elle est très convaincante, notamment, dans la scène où Franck (Peter Weller) la séduit, et où elle exprime si bien la maladresse et les hésitations d’une femme qui n’est plus habituée à ce genre de situations. Le long plan fixe les montrant assis l’un en face de l’autre, au son de la belle chanson Play With Fire des Rolling Stones, fonctionne à merveille. On citera également la scène où, seule dans son bain, elle fredonne If I Fell, une jolie ballade des Beatles (composée par John Lennon), avec des larmes dans la voix.

Albert Finney dans "L'usure du temps"
George (Albert Finney) dans « L’Usure du temps »

Si les deux personnages principaux sont bien écrits, le scénario a également l’intelligence de ne pas négliger, loin s’en faut, les enfants, dont les dialogues sont vivants et crédibles. L’Usure du temps rend bien compte de leur regard (omniprésent) sur les événements. C’est flagrant dans plusieurs scènes, par exemple au cours de la séquence finale, lorsque les trois plus jeunes observent, depuis un balcon, le départ de leur père. Le fait que le point de vue des enfants soit à ce point développé (dès le début, d’ailleurs, lorsqu’ils regardent leurs parents à la télévision) donne une dimension supplémentaire au film.

L’Usure du temps montrant entre autres les difficultés qu’ont George et Faith à accepter la relation amoureuse vécue par l’autre, les personnages de l’amant et de la maîtresse sont également importants, et Bo Goldman ne les a de fait pas négligés.

C’est l’actrice Karen Allen (la petite amie d’Indiana Jones dans Les Aventuriers de l’Arche perdue, et de Steve Burns dans le fascinant Cruising, de William Friedkin) qui interprète (avec talent) le rôle de Sandy, la compagne de George. Une femme plus moderne, plus émancipée que celle incarnée par Diane Keaton, et davantage en phase avec l’évolution du rôle des femmes initiée au cours des années 60-70. Son indépendance revendiquée perturbe d’ailleurs George, habitué à des relations plus traditionnelles dirons-nous, et sur ce point le film pointe habilement l’évolution des mentalités. Peter Weller (qui incarnera plus tard Robocop dans le film éponyme de Paul Verhoeven, ainsi que le rôle principal dans Le Festin nu, le film de David Cronenberg d’après William Burroughs) est très crédible dans le rôle de Franck, le compagnon de Faith ; un homme simple, viril, généreux (donc d’autant plus difficile à accepter pour George).

La réalisation d’Alan Parker met intelligemment en valeur le jeu des comédiens. Et même lorsque le passage du temps est évoqué à travers certains clichés (la roue de vélo qui tourne dans le vide ; la peluche négligemment laissée dans un coin), la qualité de la photographie et la précision du montage (signé Gerry Hambling, fidèle collaborateur d’Alan Parker) retirent toute lourdeur à ceux-ci.

L'usure du temps

La collaboration du metteur en scène avec Michael Seresin est précieuse ; le chef opérateur, qui travailla avec Alan Parker sur Birdy, Midnight Express, Angel Heart et La Vie de David Gayle, y est pour beaucoup dans la réussite esthétique du film. La lumière et les teintes choisies par Seresin imprègnent le film d’une mélancolie qui convient à la tonalité grave du récit.

Tonalité grave car en plus de décrire les aléas et difficultés de la rupture amoureuse, le film parle aussi de la violence masculine au sein du couple et à cet égard, on notera la force de la séquence finale, et celle du tout dernier plan. Un arrêt sur image particulièrement amer, où résonnent à la fois une brutalité intemporelle et récurrente, et le refus d’un énième pardon.

La musique dans L’Usure du temps

Aucune bande originale n’a été composée pour le film ; la musique que l’on entend est donc constituée des morceaux que les personnages écoutent ou fredonnent (dont le titre des Beatles et celui des Rolling Stones, déjà évoqués plus haut), mais également d’une version de Don’t Blame Me jouée au piano, avec une seule main, par Alan Parker lui-même. C’est Bo Goldman qui a choisi ce titre, lequel fut interprété, entre autres, par Charlie Parker et Thelonious Monk, deux des plus grands musiciens de l’histoire du jazz.

Le titre de la chanson (signée Dorothy Fields pour les paroles, Jimmy McHugh pour la musique) pourrait bien être murmuré par le personnage de George dans L’Usure du temps…

Extrait du film

Voici un extrait de L’Usure du temps, disponible sur la chaîne YouTube de Citizen Poulpe. Cette scène se termine sur une réplique très juste prononcée par Diane Keaton : Strangers are easy (ce que l’on pourrait traduire par C’est plus facile avec les inconnus).

8.5 Note globale

La construction dramatique (exemplaire) ; la justesse des dialogues ; l'épaisseur des personnages ; la performance des comédiens (Diane Keaton et Albert Finney sont magnifiques) et l'élégance de la réalisation font de L'Usure du temps l'un des films les plus émouvants sur le thème de la séparation amoureuse. C'est aussi un film qui évoque, sans complaisance aucune, la violence masculine qu'incarne, sans jamais tomber dans la caricature et avec son lot de nuances, le personnage de George.

Alan ParkerAlbert FinneyCouple en plein douteDiane KeatonKaren AllenPeter WellerRupture mal digérée
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Bertrand Mathieux

Principal contributeur du blog Citizen Poulpe. Parmi mes cinéastes préférés : Michael Cimino ; Claude Chabrol ; Maurice Pialat ; Michael Powell ; Kelly Reichardt ; Arthur Penn ; Olivier Assayas ; Emmanuel Mouret ; Guillaume Brac ; Francis Ford Coppola ; Michel Deville ; Guillaume Nicloux ; Karim Moussaoui ; Woody Allen ; Sam Peckinpah ; Nacho Vigalondo ; Danielle Arbid ; Jean-Pierre Melville ; David Lynch ; Billy Wilder ; David Mamet ; William Friedkin ; Nicolas Pariser ; Sergio Leone ; Jane Campion ; Miguel Gomes ; Ari Aster ; Christian Vincent ; Sidney Lumet ; Dominik Moll ; Ernst Lubitsch ; Gilles Marchand ; Alfred Hitchcock ; John Carpenter ; Otto Preminger ; Whit Stillman ; Nicholas Ray...

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12 commentaires

  • yazz dit : 4 décembre 2010 à 9 h 44 min

    Salut Poulpe,

    Dis donc ta critique est très bien écrite. Je n’ai pas vu le film, mais cela me donne furieusement envie de le voir…J’espère qu’il est en vente en DVD.

    N

    Répondre
    • Citizen Poulpe dit : 4 décembre 2010 à 19 h 38 min

      Merci! à ma connaissance pas de zone 2, mais tu peux le trouver en zone 1 avec des sous-titres français sur amazon.com, par exemple (en tapant le titre original bien sûr).

      Répondre
  • yazz dit : 16 décembre 2010 à 21 h 43 min

    J’y suis allée sur amazon et il est indiqué que le dvd ne peut être visualisé qu’en zone 1 (Etats Unis et Canada)…Dommage, je vais pas pouvoir le visionner du coup…

    Répondre
    • Citizen Poulpe dit : 17 décembre 2010 à 12 h 08 min

      Il est possible que votre lecteur DVD soit multizones. En théorie on ne vend pas officiellement de lecteur zone 1 en France, mais il se trouve que certains lecteurs lisent toutes les zones (c’est le cas du mien), même si ce n’est pas inscrit sur la boite. Vous pouvez essayer de faire une recherche en tapant la référence de votre lecteur sur internet, ou faire le test avec un dvd zone 1 prêté par quelqu’un. Sinon, les DVD zone 1 peuvent souvent être lus sur un ordinateur, ça doit dépendre du lecteur qui y est intégré mais je sais que j’en regarde souvent sur mon PC.

      Répondre
  • yazz dit : 16 décembre 2010 à 21 h 46 min

    Citizen Poulpe, si je puis me permettre un très beau film à découvrir « Forty Shade of Blue » de Ira Sachs….

    Répondre
    • Citizen Poulpe dit : 17 décembre 2010 à 12 h 02 min

      Merci du conseil ! Je viens de lire une critique sur ce film, ça donne envie… Je ne connaissais pas du tout.

      Répondre
  • yazz dit : 19 décembre 2010 à 18 h 46 min

    n’ayant pas de tv, je regarde mes dvd sur mon Mac…Je vais me renseigner pour voir si je peux lire des dvd zone « 1 » avec mon ordi…Merci pour les infos…
    Pour le film de Sachs, j’avais lu une interview de lui, il y parlait entre autre de Cassavetes et Pialat ..Je me suis dit, tiens un homme qui aime les mêmes réalisateurs que moi ne doit pas être un si mauvais réal…:)….Et hop j’ai vu le film et ai bcp …

    Bonne découverte

    Répondre
  • bouzar dit : 7 juin 2012 à 14 h 44 min

    Vous pouvez voir le film sur you tube mais en version originale (shoot the moon full movie )

    Répondre
  • Jean-Pascal Mattei dit : 12 août 2013 à 15 h 59 min

    Seresin dirigea Rourke dans le touchant « Homeboy », son seul film en tant que réalisateur, me semble-t-il. Un grand film sur le divorce et ses dommages collatéraux ? « Chromosome 3 » de Cronenberg.

    Répondre
  • Rysemap dit : 24 décembre 2015 à 21 h 36 min

    Il ressort en version restaurée (1 salle Paris) j’ai adoré. La BO est magnifique, notamment les Stones – Play With Fire et Bob Seger – Still The Same !

    Répondre
  • Jappy Toutou dit : 24 février 2018 à 2 h 41 min

    Excellente critique. Ce film m’arrache des larmes chaque fois que je l’écoute. Ma critique ne pourrait être impartiale, même si je crois fermement que c’est un chef d’oeuvre du cinéma, dans mon top 15. J’ai 43 ans. Le film est sorti en 82. À l’époque j’avais 9 ans. Je pense que je n’aurais pas du voir ce film à l’époque… Mais ma mère nous l’a fait voir à moi et mes soeurs (4 jeunes filles, comme dans le film). Je crois qu’elle voulait nous préparer à sa rupture avec notre père, qui s’est concrétisée dans les mois qui ont suivis le visionnement du film. La jeune fille qui tient le rôle principale était à peine plus âgée que moi, ce qui m’a d’autant plus troublée. Inutile de vous dire que l’écoute de la bande annonce suffit à ce que je mouille mes joues. Le personnage principal interprété par Diane Keaton a un charisme qui égale celui de ma mère, qui était connue comme étant une femme magnétique et très séduisante dans notre petite ville. À l’époque ma mère jouait dans des pièces de théâtre. Je reconnaissais l’âme artistique de ma mère en voyant jouer diane Keaton. Ce film était un avant goût de toute la souffrance que nous allions vivre, moi, mes soeurs mon père et ma mère. Le jeu des acteurs est tellement crédible… et le scénario tout autant. Chaque petit détail n’est laissé au hasard. On ressent leur fragilité du début à fin. Un tel réalisme est rare au cinéma. Il y a une chanson qui joue à la fin, lorsque le père démoli ce que l’amant de sa femme a construit. Je cherche depuis des années le titre de cette chanson. Si vous le connaissez, je serais tellement heureuse de pouvoir l’écouter en entier de nouveau, car de mémoire, je n’ai pas entendu cette pièce musicale en entier depuis mon enfance.

    Répondre
    • Bertrand Mathieux dit : 24 février 2018 à 11 h 55 min

      Merci pour ce commentaire très riche ! Je fais des recherches au sujet de la chanson et je vous tiens au courant. Encore merci.

      Répondre

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