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Pauline Kael
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Les chroniques de Pauline Kael

Par Bertrand Mathieux · Le 19 novembre 2010

Réunies en deux volumes respectivement dédiées au cinéma américain et européen, les chroniques de la célèbre critique de films Pauline Kael sont enfin disponibles en français.

Pauline Kael se démarque de la plupart des critiques cinéma par le ton passionné et l’approche très subjective, partiale, de ses articles. Probablement n’a-t-elle jamais publié le moindre papier consensuel, n’hésitant pas à descendre des films et des réalisateurs pour ainsi dire systématiquement portés aux nues par la grande majorité de ses confrères.

Mais qu’elle aimât ou non les films dont elle faisait les critiques, ses articles sont à la fois personnels, argumentés et bien écrits ; et surtout, on y ressent un amour communicatif du cinéma. On est très loin de la critique fade, tout comme de la critique pseudo-intellectuelle au style froid et hermétique.

Bien sûr, certains bondiront à la lecture de certaines chroniques. J’ai refermé vite (dans un premier temps) les chroniques américaines après avoir lu des articles tranchants sur Voyage au bout de l’enfer et La Porte du Paradis de Michael Cimino (sa critique assassine a d’ailleurs largement contribué à l’accueil public et critique désastreux auquel ce grand film se heurta à l’époque) que je considère comme des chefs d’œuvre. Personnellement, je ne comprends pas qu’elle puisse considérer que le cinéaste reste à la surface des personnages et de leurs relations, alors que c’est l’un des aspects qu’il développe le plus. Si ses articles sont tous soigneusement argumentés, ses arguments peuvent laisser perplexe. Par exemple, quand Pauline Kael s’énerve du fait qu’elle ne sait pas, dans Voyage au bout de l’enfer, si Linda (Meryl Streep) aime Nick (Christopher Walken) ou Mike (Robert de Niro), on a envie de lui répondre (même si j’ai ma petite idée) qu’elle (Linda) ne le sait pas forcément non plus (la confusion des sentiments ne me parait pas quelque chose d’inadmissible, dans la vie comme au cinéma). Plus généralement, son point de vue sur Voyage au bout de l’enfer me semble assez réducteur, voire franchement erroné. Quand elle écrit : La substance même du film – le contraste entre la communauté de Clairton et le chaos vietnamien – offre un message isolationniste classique : l’Asie devrait être laissée aux asiatiques, et nous devrions rester chez nous, mais si nous sommes contraints d’aller là bas, nous leur montrerons de quoi nous sommes capables, elle prête à Cimino un discours qui n’est absolument pas exprimé clairement ou même implicitement dans le film ; on est dans la pure interprétation, et le problème est qu’elle ne le souligne pas dans la manière de rédiger l’article : c’est ce que Cimino a voulu dire, point. Pour ma part, l’attitude de Mike (De Niro) à la guerre est dictée par l’instinct de survie, ce n’est pas l’apologie d’un courage et d’une virilité démonstratifs. Le film montre tout simplement l’impact tragique de la guerre (et de celle du Vietnam en particulier) sur des individus et une communauté. Exprimer l’attachement des personnages à leur ville et à leurs origines, comme Cimino le fait si bien, ne trahit pas forcément un message isolationniste. Qui n’éprouverait pas ces sentiments en se retrouvant plongé dans une guerre ? De même, quand elle s’offusque d’un certain aspect de la réalisation de La Porte du Paradis qui selon elle met trop en avant ce qui se passe en arrière plan au détriment de l’intrigue et des dialogues, elle critique ce qui est l’une des grandes qualités du réalisateur : faire ressentir au spectateur l’environnement dans lequel se déroule l’histoire, d’où une immersion totale, et sa force est justement de parvenir à cela sans jamais négliger, mais au contraire en les explorant avec beaucoup de finesse, les sentiments des personnages. Mais je n’irai pas plus loin au sujet de ces films : à part lorsqu’elle reconnait son grand talent de réalisateur, je ne partage pratiquement jamais son avis sur Michael Cimino.

Son interprétation de Les Chiens de Paille, de Sam Peckinpah (réalisateur qu’elle admire, elle semble également aimer beaucoup l’homme), est intéressante et juste à bien des égards. Mais si elle voit beaucoup de choses, je ne rejoins pas toujours l’analyse qu’elle tire de ses observations, si fines soient-elles. Sur la  scène – très dérangeante – du viol, Pauline Kael écrit : Cette scène dit en réalité que les femmes veulent être brutalisées. Ici, elle fait référence à l’ambiguïté propre à l’attitude d’Amy (Susan George), qui à certains moments semble éprouver du plaisir, et qui a aguiché l’homme qui la viole plus tôt dans le film. Mais il faut tenir compte du fait que Peckinpah filme ses larmes, quelques instants plus tard. Pauline Kael a raison de souligner que le film explore les plus bas instincts masculins, mais je ne suis pas certain qu’elle voit juste quant au point de vue de Peckinpah sur ces instincts : il les montre, nous les jette à la figure avec une grande violence, mais il ne les cautionne pas forcément : c’est au spectateur de trouver ses propres repères dans ce déferlement de brutalité. Les personnages de Peckinpah – hommes et femmes – sont presque tous impurs ; en chacun d’eux résident des instincts et des pulsions primaires dont l’expression est tantôt condamnable (le viol) tantôt justifiable (David, interprété par Dustin Hoffman, défendant son foyer).

J’ai en revanche rarement lu une critique aussi juste et aussi brillante du film Carrie, de Brian de Palma. Pauline Kael a le don d’exprimer clairement des choses que l’on ressent parfois sans pouvoir les formuler aussi précisément. Son analyse de Le Dernier tango à Paris (qu’elle adore), de la réalisation de Bertolucci et du jeu de Marlon Brando m’a donné immédiatement envie de revoir ce film. Ses articles sur les films de Godard (elle admire presque tous ses films des années 60), de Chabrol (elle détaille parfaitement sa grande maîtrise de la réalisation), Bergman, Rohmer (qu’elle juge bon artisan du cinéma, mais dont les films sont plutôt vides, et je serais plutôt de son avis), Sautet, Resnais et autres sont souvent très intéressants (je la trouve très dure avec Sautet, mais bon…) et d’une grande richesse : ses analyses vont au cœur de sa vision des films, avec tout ce que cette démarche suppose de subjectivité et de partialité – mais sa grande connaissance du cinéma et sa culture lui permettent de faire des observations d’une grande justesse.

L’une des forces des articles de Pauline Kael est également un bon équilibre entre l’analyse du fond et de la forme ; elle va très loin dans l’étude des personnages et de leur traitement, traquant les faiblesses et les atouts du scénario avec beaucoup d’intelligence et d’acuité. Et cela, sans omettre des observations tout aussi pertinentes sur les aspects plus techniques du cinéma, tels que la réalisation, le montage, la photographie, etc.

Son exigence est d’une constance remarquable : quand beaucoup de critiques vont voir un film avec un avis préconçu (par exemple, un Bergman sera fatalement un grand film), Pauline Kael sait être très critique vis-à-vis d’un metteur en scène qu’elle adore, ne se basant que sur les impressions et les émotions que lui procure chaque nouveau film.

Elle a également le mérite de poser sur des films qui ont surtout été encensés (Fellini, Visconti, Antonioni et Kubrick se sont quand même rarement fait tailler des costards en dehors des articles de Kael) un regard inédit, même si on peut ne pas toujours adhérer à ses points de vue.

J’ai l’impression que Pauline Kael éprouve parfois le besoin de s’attacher aux personnages principaux pour aimer les films. C’est souvent essentiel, mais ce n’est pas une règle. Elle n’aime pas le névrosé obsessionnel si souvent campé par Woody Allen, donc elle n’aime pas ses films (même si je trouve qu’elle a raison en voyant dans Interiors un exercice de style Bergmanien un peu vain), elle ne comprend pas les motivations du tueur (Martin Sheen) dans Badlands, et n’éprouve pas plus de compassion pour sa compagne (Sissi Spacek), donc elle critique le film de Terrence Malik (même si elle avance d’autres arguments). Elle rejette la fin très noire, voulue par Polanski, de son chef d’œuvre Chinatown, employant une expression curieuse qui sous-entend que Polanski se complait dans l’immoralité. Mais un réalisateur ne filme pas uniquement ce qu’il aime, ce qu’il cautionne. Polanski a uniquement voulu montrer ce qui se passe le plus souvent dans la réalité de tous les jours : la victoire des puissants et des corrompus.

On sent que cette grande critique de films est parfois très affûtée à l’égard des réalisateurs qui se regardent filmer, ou qui négligent l’intrigue et ses enjeux comme pour mieux souligner leur attachement à des préoccupations dites plus profondes ou intellectuelles. L’un des nombreux exemples significatifs de cette approche est la critique de L’Ami américain de Wim Wenders, un film qui m’avait laissé froid pour des raisons que je ne parvenais à définir. Elles m’ont sauté aux yeux à la lecture de son article.

Elle s’enthousiasme pour un film méconnu d’Alan Parker, L’usure du temps (Shoot the Moon), avec Diane Keaton, Albert Finney et Karen Allen (Cruising), d’une telle manière que j’ai aussitôt cherché à me procurer le film, qui existe en DVD zone 1.

Si l’on peut discuter ses points de vue pendant des heures, je retiens surtout une chose de la lecture de ces chroniques : Pauline Kael était profondément honnête, passionnée, exigeante, courageuse, indifférente à l’influence des autres critiques et des opinions toutes faites, et ces qualités font défaut à bien des critiques de cinéma et d’art en général. Rien que pour cette raison, je ne peux que conseiller de lire ses chroniques.

Pour plus d’informations sur sa carrière, consulter l‘article dédié à Pauline Kael sur Wikipedia EN.

Pauline Kael
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Bertrand Mathieux

Principal contributeur du blog Citizen Poulpe. Parmi mes cinéastes préférés : Michael Cimino ; Claude Chabrol ; Maurice Pialat ; Michael Powell ; Kelly Reichardt ; Arthur Penn ; Olivier Assayas ; Emmanuel Mouret ; Guillaume Brac ; Francis Ford Coppola ; Michel Deville ; Guillaume Nicloux ; Karim Moussaoui ; Woody Allen ; Sam Peckinpah ; Nacho Vigalondo ; Danielle Arbid ; Jean-Pierre Melville ; David Lynch ; Billy Wilder ; David Mamet ; William Friedkin ; Nicolas Pariser ; Sergio Leone ; Jane Campion ; Miguel Gomes ; Ari Aster ; Christian Vincent ; Sidney Lumet ; Dominik Moll ; Ernst Lubitsch ; Gilles Marchand ; Alfred Hitchcock ; John Carpenter ; Otto Preminger ; Whit Stillman ; Nicholas Ray...

5 commentaires

  • Sam dit : 24 novembre 2010 à 10 h 54 min

    Pauline Kael a joué un rôle non négligeable dans l’essor du Nouvel Hollywood, servant en quelque sorte de passerelle entre deux générations de cinéma.

    Je pense qu’elle détestait Kubrick pour son refus du « personnage » au profit de la fonction mécanique, mais j’avoue ne pas comprendre comment elle fait alors pour aimer Godard, qui ne fait pas autre chose.

    C’est vrai qu’elle est parfois complètement à côté de la plaque – encore que j’ai pas mal de réserves sur The Deer Hunter et que j’attends de voir Heaven’s Gate – mais disons que l’intérêt d’une critique n’est pas nécessairement dans le contenu du jugement « bien/mal » que dans la clarté des critères et la précision de l’analyse dont le jugement découle alors.
    Une critique qui descend un bon film en énonçant ses critères et en mettant en oeuvre une vision du cinéma informée, cohérente, rigoureuse est une critique qui permet de dialoguer et de se former une idée non sur la qualité objective du film mais sur les différentes approches possible autour d’un même film – et par exemple de se rendre à soi-même plus clair pourquoi on a au contraire aimé ce film et de quelle façon on juge nous-mêmes des films en général.

    Le mouvement d’une critique peut être un catalyseur de cinéma, même si le jugement final et particulier sur tel ou tel film s’avère erroné ou injuste ou partial. De même que la ridicule scène finale des Amberson’s tournée par le studio finit par faire comme une simple appogiature dissonante au cinéma de Welles…

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    • Citizen Poulpe dit : 24 novembre 2010 à 14 h 42 min

      Si vous regardez Heaven’s Gate, prenez soin de vous procurer la version longue (environ 3h30). L’édition zone 2 du dvd présente une version de 2h20 (celle que Cimino a été contraint de monter après la première projection) incohérente et décevante. La version longue est à mes yeux un des plus beaux films de l’histoire du cinéma.

      Sur ce que vous dites à propos de Godard (le refus du personnage), c’est vrai dans plusieurs de ses films mais pas pour « A bout de souffle », par exemple. Mais je pense que Pauline Kael aime les films de Godard car elle leur trouve – à juste titre – un « fond », un propos intéressant sur leur époque, et qu’elle pense que la réalisation et le montage sont au service de ce propos. Tandis que chez Kubrick, elle semble voir un goût de la forme pour la forme, une virtuosité un peu vaine. C’est du moins ce qui ressort de ces articles. D’ailleurs dans plusieurs de ses critiques elle pointe du doigt tous les effets de réalisation qui ne servent pas une histoire, une idée ou une émotion à proprement parler. Sur le principe, elle a raison.

      Répondre
  • Félix dit : 8 août 2012 à 10 h 40 min

    C’est dans les « Chroniques européennes » que Pauline Kael s’enthousiasme pour L’usure du temps, non ?
    Je lis actuellement ses chroniques américaines, avec délice ! 🙂
    Je ne suis pas toujours d’accord avec elle, mais c’est toujours passionnant, bien écrit, et original. Je me procurerai bientôt ses chroniques européennes.

    Répondre
    • Bertrand Mathieux dit : 8 août 2012 à 17 h 58 min

      Je ne me souviens pas bien, mais logiquement la critique de « L’usure du temps » devrait faire partie des chroniques américaines. Oui comme vous dites ses avis sont très subjectifs (même si très argumentés également) donc parfois discutables, mais son approche de la critique est vraiment intéressante et personnelle.

      Répondre
  • Jean-Pascal Mattei dit : 11 août 2013 à 23 h 38 min

    Le cinéma s’apparente à la guerre, comme le soutenait Fuller : d’un côté ceux qui le font, de l’autre ceux qui le commentent. La critique ne se libère du parasitisme que par une bienveillante et profonde mesure, celle de Bazin ou Daney, mais surtout par le style, l’engagement physique de l’observateur, suivant le précepte nietzschéen d’écrire avec son sang. Le fait que l’une de ses représentantes puisse devenir la plus célèbre de son pays en s’évertuant à déposséder Welles de son œuvre (dans le sillage du studio mais avec de surcroît une sorte d’arrogance libérale), en osant parler à propos de « L’Inspecteur Harry » de « fascisme médiéval » (et ceux qui l’applaudirent en France décernent depuis leurs constants lauriers à Eastwood), en exécutant régulièrement un visionnaire de l’étoffe de Kubrick, dans une prose de journaliste (autre forme de parasitisme, à l’objectivité suspecte, au point que seul le roman parvient à une certaine vérité – cf. « De sang-froid », « non fiction novel » de Capote surpassant tous les articles de faits divers) abreuvée de détails autobiographiques dérisoires : tout ceci en dit long à la fois sur le goût d’une nation et sur sa maturité. Par ailleurs, elle inspira un personnage de « La Conspiration des ténèbres » de Theodore Roszak, remarquable essai sur les pouvoirs du cinéma autant que thriller ésotérique. Une citation pour finir, de Mocky à propos de Michel Ciment : « Ce type écrit des bouquins sur des grands cinéastes, mais il a une mentalité de concierge. »

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